ouest france : Roman – Saint-Nazaire m’a dit de Jacques Bellanger

Jacques Bellanger roman

présentation du roman Saint-Nazaire M’a Dit

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L’ Accident du 115 à la Gare de Saint-Nazaire – Le 10 OCTOBRE 1927

 

Saint-Nazaire m’a dit :

— Connais-tu la véritable histoire de l’accident de la gare de Saint-Nazaire ?

Pour la seconde fois, Seuquaï arriva devant le groupe en imitant un petit train :

— Tchou, tchou, tuuut tut !

Il imitait le train en tournant autour des tables, nous nous sommes dits, Seuquaï déraille, mais ce n’était pas le cas.

Dans son parcours, il alla déposer son trench-coat sur le perroquet toujours suivi par son panache blanc et ses petits bruits de train.

Saint-Nazaire m’a dit, tout avait commencé ce samedi 10 octobre 1927 à Paris, gare d’Orsay à 16h 40. En effet, le rapide 115 quittait le quai avec à son bord 600 passagers.

Le train à vapeur s’arrachait du quai dans un nuage blanc en direction de Tours qui sera son premier arrêt. Le voyage s’effectua à un rythme normal et sans problème. Une partie des passagers descendait allégeant le convoi.

Puis la deuxième étape de ce voyage sera Nantes. Arrêt important pour le rapide 115, effectivement, il était 22 heures, il changeait de locomotive, laissait descendre un grand nombre de voyageurs et monter un groupe de locaux. Dans le train, il y avait Marcelin Langrebel et Odilon Santin deux ouvriers des Chantiers Dubigeon.

Saint-Nazaire m’a dit, le nouveau monstre d’acier était dirigé par Rintinot, un solide gaillard, visage buriné par le temps et noirci par les fumées de la machine. Rintinot n’avait que des copains comme il disait à la gare de Nantes.

22 heures 19 précise, la monstrueuse machine se mit à siffler indiquant qu’elle avait décidé sous les mains de Rintinot de quitter le quai, mais il restait les contrôles d’usage.

Le sifflet du chef et les signes du chef de gare validaient le départ avec une dizaine de minutes de retard.

Le rapide 115 avait un dernier arrêt à faire à Chantenay dans la banlieue de Nantes, puis ce serait la course vers Saint-Nazaire.

La fin du voyage était proche pour les 60 derniers passagers du train, beaucoup étaient des habitués. Sous le regard du contrôleur Gérard, les clients présentaient leurs tickets qu’il poinçonnait d’un geste courtois.

Saint-Nazaire m’a dit le rapide 115 roulait à toute vitesse dans la nuit noire sans étoile, s’enfonçant dans la campagne.

Odilon Santin regardait le paysage fantomatique des arbres le long de la voie. Tandis que Marcelin Langrebel les yeux fermés se laissait bercer par le claquement des roues sur les rails et le roulis du train.

Odilon regardait toujours à la fenêtre, quand il aperçut les Forges de Trignac, puis en un instant, il reconnut le lieu dit Croix Amisse.

Arrivée à l’approche de Saint-Nazaire, Odilon réveilla son collègue :

— Marcelin, bouge-toi, y a un problème.

— Ça va, le train roule.

— Oui, mais il n’a pas ralenti comme d’habitude dans le virage de la croix Amisse.

En effet, le conducteur Rintinot avait actionné le petit cheval, le frein à air comprimé, mais celui-ci n’avait pas fonctionné.

Le train, tel un bolide, continuait sur sa lancée, Rintinot fit hurler le sifflet et essaya de freiner sa machine qui roulait à 70km/h à l’approche de la gare.

— Tu entends, Marcelin ! Et il vit la passerelle, non d’un chien ajouta-t-il.

Marcelin étant totalement réveillé s’écria :

— Cramponnez-vous, nous allons au café des Ambassadeurs.

Le bar se trouvait en face de la gare. Il restait un peu plus de cinq cents mètres à faire avant d’entrer dans la gare. Le train avait perdu un peu de vitesse et ne roulait plus qu’à 50km/h.

Tous les clients du train étaient dans le wagon de seconde classe en queue de train.

à suivre…

http://www.bellanger.perso.sfr.fr/ecrits/saintnazairemadit.html

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– LES RELIQUES DE NAZARIUS

extrait de Saint-Nazaire m’a dit

saint-nazaire m'a dit

saint-nazaire m’a dit

–   Les Reliques de Nazarius

Saint-Nazaire m’a dit :

— connais-tu la véritable histoire de Nazarius ?

— Mais avant, j’ai une requête mes amis.

C’était un soir où nous vîmes notre historien plein d’entrain ce qui ne lui ressemblait pas. Il s’installa le long du bar, sorti de son trench-coat une bouteille d’un whisky pur malt, je ne me souviens plus le nom, mais une pure merveille.

— J’ai quatre-vingt-cinq ans depuis deux jours, j’aimerais trinquer avec vous mes amis, Haubert des verres.

Haubert sortit un service à whisky de dessous le comptoir, donnant l’impression d’une surprise totalement organisée et orchestrée par ces deux complices.

Seuquaï voyant les glaçons dans les verres, il s’adressa au patron

— Haubert avant de servir tout le monde, enlève moi c’est P… de glaçon, je ne dirais pas le mot par respect des dames présentes.

— Je sais Seuquaï, je les glace seulement.

L’illustre fabuliste dans un cérémonial digne d’un service à la courre du roi d’écosse, servit et offrit un petit verre aux clients, pendant ce temps-là, Haubert, son complice, avait sorti deux autres bouteilles identiques.

— Mes amis, avant de vous relater ce que Saint-Nazaire m’a dit. J’aimerais vous parler de lui, il montra son verre.

Il laissa Haubert faire le service à sec et avant qu’il n’ait pu faire autre chose, il ajouta.

— la diplomatie a ses limites et mes amis, comprenez qu’un single malt se suffit à lui-même et que tout rajout le flinguerait lamentablement !

Nous comprîmes que toutes demandes seraient mal prises, pour ma part, j’aime le prendre avec une larme d’eau.

Il leva son verre aujourd’hui,

— Je disais, j’ai quatre-vingt-cinq ans depuis deux jours, lui en vingt, ce qui est comme moi un âge respectable.

Il trinqua avec ses amis puis ajouta :

— Oh ! Je n’aime pas l’habitude très frenchie, l’emploi de glaçons. Là encore, pas d’intransigeance, la glace va figer les arômes du malt et lui ôter l’essentiel de ses saveurs… alors, je dirais à proscrire ! À la rigueur, mettez à disposition de l’eau fraîche, les amateurs en verseront quelques gouttes dans leur verre afin de faire redescendre la teneur en alcool et d’ouvrir le malt un peu corsé. Mes amis, si nous habitions la campagne, essayez de vous procurer de l’eau de source, pour les autres, une eau minérale neutre conviendra.

Un bon anniversaire Seuquaï résonna dans le bar Victor Hugo.

Seuquaï avait décidé de nous parler de l’origine de Saint-Nazaire.

Saint Nazaire m’a dit, je m’appelle Saint-Nazaire parce qu’au VIe siècle, sous le règne du roi Clotaire II, un buveur de lait à l’époque, il n’avait que cinq mois, parce que Frédégonde, sa mère l’avait placé sur le trône. En effet, elle avait éconduit, plutôt s’était débarrassée d’un coup de couteau de son mari, Chilpéric. Cette brave femme l’avait fait avec l’aide de Gontran, son beau-frère.

Frédégonde continua ses petites distractions, en faisant trancher la tête à tous ceux qui avaient l’air de douter d’elle.

Durant cette époque trouble, des moines vinrent déposer les reliques de Nazarius à Corbilo afin de les protéger de la convoitise de cette mégère.

Grâce à ses relations et ses distractions, Frédégonde fût attaqué de toute part, elle dut demander la protection du roi de Bourgogne son beau-frère Gontran, qu’elle tenta un jour, un peu plus tard de faire assassiner.

Cette guerre fratricide avait permis d’asseoir leurs positions aux seigneurs Bretons dont un certain, Waroch II, buveur de whisky devant l’éternel, qui régna entre 577 et 594 sur la région de Benetis, ancien nom de Vannes.

En 589, Waroch en profita pour envahir le pays Rennais. Cette fois-là, Gontran envoya en représailles des troupes dirigées par les ducs bretons Beppolène et Ebrachaire qui passèrent la Vilaine à sa rencontre. Waroch II fut obligé de reculer jusqu’aux portes de Saint-Nazaire.

Frédégonde aurait pu ne rien faire, mais, en tant que trublion de l’histoire, elle réfléchit deux secondes et se dit un ennemi de mes ennemis est un ami. Aussitôt, elle avait réagi en envoyant au secours du Breton Waroch, les Saxons du Bessin contre l’armée de Beppolène. Ce dernier sera acculé dans les marécages près de Saint-Nazaire et trouvera la mort durant les trois jours de combat que mena Waroch II qui avait rejoint les troupes saxonnes, gagnant sa seconde victoire contre les Français.

Saint-Nazaire m’a dit qu’à la suite de cette bataille, Waroch II apprit l’existence d’une basilique abritant les reliques du martyr Nazarius et d’un baudrier d’or.

Le précieux reliquaire aurait sur-le-champ suscité la convoitise du chef breton Waroch II, de retour en son château de Vannes, il fit envoyer un émissaire pour s’en emparer.

La rumeur se répandit qu’un homme de main viendrait le prendre.

Magad Langrebel, le chef du village décida de créer une escouade de protection avec la ferme intention de protéger le fameux reliquaire.

Les jours qui suivirent firent monter la pression du noyau dur de l’escouade.

À l’intérieur de l’escouade, chacun avait sa formule pour annoncer le vœu de combattre le voleur jusqu’à la mort plutôt que de voir le reliquaire partir.

Puis le matin du 3 avril, Eunius l’évêque de Vannes, l’émissaire du souverain du royaume entra dans la ville de Corbilo assisté d’une troupe d’une centaine d’hommes en arme.

L’escouade de Magad Langrebel fit très peu d’effet en face ce bataillon.

Eunius dit :

— Je suis l’émissaire de Waroch II, le suzerain de Vannes, et je viens au nom de la chrétienté mettre en lieu sûr le reliquaire de Nazarius. Nous l’emporterons dans la Basilique Saint Clément, troisième évêque de Vannes. Les Bretons pourront y venir les vendredis s’y recueillir. Nous prendrons avec le reliquaire le baudrier en or.

Magad Langrebel voulut s’y refuser, mais fut bousculé avec son escouade au pied du parvis de la basilique par les hommes d’armes de l’évêque.

Eunius, voyant l’incident rondement mené et la fronde terminée, dit :

— Je célébrerais les offices aujourd’hui jusqu’à complies et demain après l’office des laudes, nous emporterons le reliquaire.

La foule de Corbilo avait du mal à accepter, mais devant la troupe ne pût que s’y résigner.

Le chant du coq réveilla toute la ville. Eunius célébra l’office des laudes. Une fois terminé, il se dirigea vers l’alcôve de Nazarius. Devant l’entrée, il s’agenouilla récita deux paters.

Saint-Nazaire m’a dit il faut savoir que les maisons bretonnes avaient des portes très petites et l’alcôve répondait aux normes de construction parce que la population ne mesurait qu’un mettre soixante pour les plus grands. Eunius était un géant pour son époque avec son mettre soixante quinze sans la mitre alors lorsque ce brave homme passait une porte il devait se baisser.

Ce fut le moment clé de la vie d’Eunius, il tendit les bras vers le reliquaire après avoir fait un signe de croix, il se leva subitement et celui-ci se fracassa le crâne sur le linteau de la porte de l’alcôve.

Une chose surprenante fût qu’Eunius resta la debout comme foudroyé, les yeux grand ouverts, les bras tendus, mais sa vie était partie rejoindre son dieu. Son corps ne pût être déplacé, la tête était encastrée dans le linteau de granit et Eunius resta jusqu’à l’arrivée de Waroch une semaine plus tard.

Lors de sa traversée de la ville, la population criait :

— Miracle ! Miracle !

Waroch, bien qu’il ait eu un doute, prit cette ferveur comme une acclamation de son pouvoir. Il se dirigea vers la basilique qui était encerclée par ses gens en armes.

Magad Langrebel, le chef du village reçut le Vannetais avec un calme que la population ne lui connaissait pas.

Magad Langrebel dit :

— Roi Waroch, Dieu a choisi. Le reliquaire restera ici. Voyez-vous même, et lui fit signe d’entrer dans le lieu saint.

Waroch ne comprenant pas, sur le coup l’attitude du notable de la ville, entra dans la basilique et voyant ce qui était arrivé à son évêque, Waroch fut pris de stupeur.

Le corps d’Eunius s’était momifié en une semaine sans aucune intervention humaine.

Par ce miracle, il comprit que Nazarius avait décidé de rester ici. Waroch, effrayer et ne voulant pas contrarier son Dieu combla l’église de dons voulant ainsi racheter son péché d’orgueil.

Saint-Nazaire m’a dit que le village prit le nom de Sanctus Nazarius de Sinuario.

Magad Langrebel dit : je préfère Saint-Nazaire et ce nom sera plus connu que Corbilo.

Le corps d’Eunius disparu comme le reliquaire bien des siècles plus tard.

Seuquaï se leva de son tabouret de bar, prit sa pipe, la bourra et se dirigea vers la porte.

fin

sortie  2012

Disponible                                                             via internet – chez Lulu.com

et  à Saint-Nazaire :

–          à la Librairie : La voix au Chapitre, 67 rue Jean Jaurès 44600 Saint-Nazaire 

–          à la Librairie : Gweladenn  base sous marine  de Saint-Nazaire                                  

12.00€  Saint-Nazaire M’a Dit… édité 5/2012  format : Exlibris (14,8x21cm)  178 Pages

enregistré par la BnF le : 11/05/2012

BNF enregistrement    bnf.fr/ notice

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– LE PORT – 51 ANS DE TRAVAUX 1856 – 1907

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Saint-Nazaire m’a dit :

— Connais-tu la véritable histoire de la création de son port ?

À Saint-Nazaire, les soirs du café Victor Hugo étaient fascinants lorsque Seuquaï Langrebel nous contait une nouvelle histoire sur son sujet de prédilection qu’était sa ville.

Saint-Nazaire m’a dit :

Jusqu’au milieu du XIXe siècle, la paroisse de Saint-Nazaire qui incluait le territoire actuel de Pornichet ne comptait que 3216 habitants.

Saint-Nazaire m’a dit, la création du port moderne fût le moteur du développement de la ville en 1856 et le premier bassin fût creusé par le remblaiement de l’anse de la Ville Halluard. Cette darse permettrait aux navires de s’y amarrer et d’y faire demi-tour.

Un nouveau Saint-Nazaire allait être créé sous le règne Napoléon III, comme port avancé de Nantes sur la Loire, profitant de trêves dans les guerres qui empêchaient jusque-là son évolution.

Les navires de gros tonnage ne pouvant plus remonter jusqu’à Nantes, il faillait créer un port de substitution.

Seuquaï se racla la gorge ce qui surprit tout le monde.

— Ce n’est rien un chat dans la gorge.

Saint-Nazaire m‘a dit c’était le comte Hippolyte Jaubert, ministre des Transports qui avait, en 1840, fait voté une loi pour accueillir les paquebots à l’embouchure de la Loire. Et deux ans plus tard, Jean Teste son successeur approuva le 2 septembre la construction du port à Saint-Nazaire.

Saint-Nazaire m’a dit :

Un concours d’idée et de plan pour le nouveau port fut lancé. En quelques mois, une multitude de plan et d’idée arrivèrent au ministère.

Le Vicomte Jules-Antoine-René Maillard de la Gournerie avait regardé ses enfants à la plage qui sur le sable créaient une digue pour se protéger de la marée montante. Quelques jours plus tard, la marée baissait rapidement, il vit ses enfants faire une nouvelle digue pour garder un petit bassin. L’idée pour le port de Saint-Nazaire était trouvée.

Appuyé par M. Auguste Jégou d’Herbeline, Jules-Antoine-René Maillard de la Gournerie présenta la semaine suivante son plan pour le nouveau port de Saint-Nazaire.

En trois mois, le ministère avait réceptionné tout un tas de projets plus ou moins réalisables, soit techniquement, soit financièrement.

Le projet du vicomte de la Gourmerie avait un avantage, celui de proposer qu’une ceinture soit construite afin de pouvoir, après assèchement du site, bâtir à sec les assises du quai et des écluses.

Jusqu’en 1850, le vicomte de la Gournerie suivra le chantier, puis nommé à un autre poste, il fut remplacé par son ami et en même temps son chef, Jégou d’Herbeline

Saint-Nazaire m’a dit qu’Auguste Louis Simon Langrebel qui n’occupait qu’un simple grade de maçon fut nommé le jour de ses vingt ans, chef d’équipe maçon responsable des pierres taillées. Il s’occupa entre autres du fruit des quais des frégates et du commerce. L’équipe de travail avait adopté le surnom des primeuristes des quais.

Concernant l’écluse, M. Auguste Jégou d’Herbeline fit édifier les bajoyers avec la même technique avec des pierres de maçonnerie avec les murs poids avec un fruit important servant de butée latérale au radier.

Ce premier bassin fut terminé en 1856.

Saint-Nazaire m’a dit les besoins croissants bousculaient la ville et le port, au point qu’en 1857. Il fut pris la décision de construire un deuxième bassin plus grand, le bassin de Penhoët.

Auguste Louis Simon Langrebel apprit la nouvelle et vint avec son équipe, les primeuristes des quais, maintenant composés d’une trentaine de copains, tous solides gaillards,….

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(suite dans le livre)

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Saint-Nazaire M’a Dit…

Sommaire du livre sur l’histoire de Saint-Nazaire

Une Grande Histoire.. –

I – L’époque : Ancestrale.. –  –

–   Le Tumulus de Dissignac. –  –

–   La ville de Corbilo.. –  –

–   Le voyage de César. –  –

II – L’époque : Moyen Âge – Révolution.. –  –

–   L’Arrivée Bretonne. –  –

–   Les Reliques de Nazarius. –  –

–   Les Vikings. –  –

–   Le Seigneur Jean D’Ust. –  –

–   Le Fort de Villes Martin.. –  –

–   La Révolution Française. –  –

III –  L’Époque :1800-1918. –  –

–   Le Môle, terminus du ferry – 1837. – –

–   Le Port – 51 ans de travaux 1856 – 1907. –  –

–   La Transatlantique – 1862. –  –

–   LePrésident Mac Mahon – 1874. –  –

–   Les Chemins de Fer 1850 – 1889. —

–   Le comte de Lesseps – 1886. –  –

–   La grève municipale – 1889. – –

–   Le Président Sadi-Carnot – 1889. – –

–   Les Luttes sociales – 1894. –  –

–   Le Président Félix Faure – 1897. –  –

–   Le président Armand Fallière – 1910. – –

–   Le débarquement – 1917. –  –

IV – L’époque :1919 -1935. –  –

–   Un Casino, une Faillite, – 1924. –  –

–   L’ accident du 115 à la gare – 1927. –  –

–   Le Président Gaston Doumergue – 1930. –  –

–   La Valise de l’espion – 1932. –  –

–   Le Président Albert Lebrun – 1932. –  –

–   La Boulangère de la rue Gautier – 1934. –  –

–   Le grand départ Normandie – 1935. –  –

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Sortie de Saint-Nazaire m’a dit…

Saint-Nazaire m’a Dit
N° ISBN : 979-10-90323-07-0

 

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